En quête d'identité (privé :avec Yoko)

Nick n'avait pas l'air très rassurer ici, et lui demanda même si elle était sure de ça.

Oui, ne vous en faites pas, personne ne peu entrer ici, mis à part nous les policiers. Les autres détenus, dis dangereux sont bien bouclés. Vous pouvez donc dormir tranquille si je puis dire.

Le lieutenant aller partir, laissant le brun se familiarisé avec les lieux, ou il aller certainement passé quelques temps. Déco sommaire certes, mais au moins personne ne pouvait entrer, ni sortir d'ailleurs. Nick sembler ailleurs, certainement perdu dans ses pensées, il regarda néanmoins Yoko dans les yeux, ce qui la gêna fortement, donc détourna vite le regard. Et il s’exclama.

Pour ma recherche d'identité... je viens de me souvenir d'une chose... j'ai déjà été incarcéré. Je me souviens aussi d'une jeune femme... Elle avait des cheveux extrêmements longs et ondulés... brune et aux yeux noirs. Ce n'est pas grand chose. Mais j'imagine qu'on peut rien laisser au hasard, n'est-ce pas ?

Yoko réfléchit.

Oui je vais en prendre note, une jeune femme brune au long cheveux ondulés, et aux yeux noir. Je vais voir ce que je peux faire avec ça. Bon je vous laisse vous reposés, je reviens demain à 7 heure, oui je suis une lève tôt. Bonne nuit Monsieur ... Nick.

Yoko ferma la porte de la cellule, puis tourna les talons sans même se retourner. Les mains dans les poches, elle réfléchissait à toute cette enquête. Il y avait beaucoup trop de chose qui commencer à la faire douter, voir même à la troubler. Il fallait vraiment qu'elle fasse des recherche plus approfondie, et pour ça, elle aurait besoin de l'aide de son ami. Le lieutenant sortis du sous sol, puis remonta à son bureau, elle avait un coup de fil à passé.

Je m'allongeai sur le lit tandis que la policière quittait les lieux. L'après-midi parut interminable car il n'y avait rien à faire dans ces cellules en attendant la nuit. C'est alors que j'entendis une voix venant des cellules de la pièce voisine.

Hé, le nouveau ?

Je tournai la tête vers la voix. Était-ce le fameux Dix ? Je ne le pensai pas.

Qui êtes-vous ?

Je m'appelle Mike et toi ?

Je... Nick... je crois...

Hey, les gars, il se souvient pas comment il s'appelle...

Les autres prisonniers gloussèrent, m'agaçant au plus haut point. Mieux valait sans doute pour moi ne pas leur adresser la parole. J'écoutai donc les moqueries sans répondre. La nuit tomba et je commençai à m'assoupir lorsque j'entendis un cliquetis métallique. Ouvrant les yeux, je vis qu'un nouveau prisonnier se trouvait dans la même cellule que moi. Comment avait-il fait pour entrer ? Je me levai rapidement et vit qu'il avait un couteau dans la main gauche.

Je vous conseille d'éviter de m'attaquer.

Alors qu'il lançait son bras vers moi, j'attrapai son membre et lui faisait une clé de bras pour lui faire lâcher son arme. Tapant de mon coude contre son ventre, je l'étourdissais et saisissais son arme dans le même mouvement. Je plaçai alors l'arme sous sa gorge, prêt à la lui trancher.

Tu as bien mal choisi ta proie...

La tête nicher contre son bras, Yoko s'éveilla en sursaut, elle regarda autour d'elle, et remarqua alors qu'elle était encore au commissariat, dans son bureau. La jeune femme s'étira comme l'aurait fait un chat qui s'éveil, et regarda sa montre, il était déjà 1 heure du matin. Cela faisait donc plus de quatre heure qu'elle dormait. Elle se leva le dos endoloris, et se remémora la soirée qu'elle avait passé ici. Elle avait appeler Max, qui avait montrer son enthousiasme avec de grand mot et certainement des sourires, comme d'habitude enjoué de tout. La bonne humeur de son meilleur ami avait réchauffer le coeur meurtris du lieutenant, même si cela elle ne lui en ferait jamais part.

Leur conversation téléphonique avait tourner autour de la disparition "D'un dangereux criminel rechercher par toutes les polices du monde", nommé Zachary Gates. Et il se trouve que cet homme n'était autre que le mari de la jolie rousse, dur dur pour un lieutenant de police non ? De plus il faut savoir que Zachary avait tué il y avait maintenant plusieurs années en arrière, le père adoptif de Yoko, l'inspecteur Steven Stark. Mort pendant l’exercice de ses fonctions sous les yeux impuissant de sa fille, qui jura alors de retrouver le meurtrier de son père, et de se venger. Ramassant un pendentif qui appartenait au tueur, la jeune Yoko le mit dans sa poche et le garda pendant toutes ses années, ou un jour se pendentif permis à Maxims et Yoko de retrouver la trace du tueur de son père ... La surprise de la rousse fut de taille, mais la confrontation le fut encore plus, et elle ne supporta pas la vérité, et après une violente dispute entre les deux époux, elle s'enfuit de leur domicile conjugale. Et depuis elle n'avait pas revu Zachary qui avait apparemment complètement disparut de la circulation ...

Un grand fracas au sous sol fit sursauter une fois encore la jeune femme, qui comprit instinctivement que quelque chose clocher au niveau des cellules. Elle prit son arme et sa veste en cuir marron, veste qu'elle c'était racheter, car la jeune Lilieth lui avait bousillée la noire. Puis descendit rapidement les escaliers et courut jusqu'aux prison. Elle savait ou se rendre, et elle y alla rapidement, réveillant au passage quelque détenus qui n'apprécièrent pas d'être réveiller de la sorte.

Ah putain vous faites chier là merde !!!

Yoko ne s'occupa pas d'eux et continua son chemin vers la cellule ou elle avait mit Nick plus tôt dans la soirée. C'est alors qu'elle vit l'homme aux cheveux noir, aux prise avec un autre détenu, qui visiblement se trouver être en bien mauvaise posture. Yoko pointa son arme vers Nick et lui dit d'un ton calme mais fort.

Posez votre arme sur le sol, loin de vous Nick ... et lâchez cet homme immédiatement.

Je lâchai mon arme dès que j'entendis la voix de la lieutenant. Qu'avais-je fais ? Je réalisai alors que je n'avais agi que par quelque instinct meurtrier. Cela ne faisait plus aucun doute, j'étais quelqu'un de très dangereux, incapable de résister à mes propres pulsions. Je reculai de quelques pas et regardai l'environnement. La cellule qu'avait sélectionné la lieutenant Starx pour moi n'était pas ouverte. Comment avait-il fait pour entrer ici ? Pouvait-il se téléporter ? Passer à travers les barreaux ? Mais dans ce cas, pourquoi restait-il enfermé ? Je n'eus pas l'occasion de me poser davantage de questions, l'homme disparaissant comme s'il n'avait jamais existé. J'entendis alors un rire dans la pièce d'à côté.

Lieutenant, je n'ai rien fais du tout. C'est cet homme qui est venu dans ma cellule ! Je n'ai fais que me défendre.

Allait-elle seulement me croire ? Je n'aurais fais que me défendre alors que j'étais celui qui portait le poignard ? Peut-être aurais-je dû terminer mon attaque... Ainsi, j'aurais été accusé de la même chose mais au moins, cet homme ne serait plus à proximité pour menacer ma vie. Dieu seul sait s'il ne va pas revenir dans ma cellule dès que la policière sera partie... Si elle me laisse à nouveau seul, évidemment.

Lieutenant, je n'ai rien fais du tout. C'est cet homme qui est venu dans ma cellule ! Je n'ai fais que me défendre.

Nick n'avait pas vraiment besoin de ce justifié, vu que Yoko voyait bien elle même que l'homme en question avait disparut de la cellule du brun. Le lieutenant soupira, puis rangea son arme dans son holster d'épaule en disant.

C'est encore un coup de Dixon, il faut savoir qu'il a une certaine influence sur les prisonniers d'ici, il a du se servir de Peter Banks, c'est un télépathe qui peu envoyé des images aux autres personne. Je suis désolée je ne pensais pas qu'il vous ennuierait, il ne vous connais même pas.

Yoko remarqua alors le poignard que tenait toujours Nick.

Mais qu'est ce que ce poignard fait là ? Bon quoi qu'il en soit c'est apparemment trop dangereux de vous laissez ici avec eux, vous allez donc me suivre, je vais vous mettre ailleurs.

Hé lieutenant, tu fais dans le traitement de faveur maintenant ?!! Dis tu veux bien me faire une petite gâterie ? dit un des détenu en rigolant comme une baleine.

Yoko ne répondit pas à la provocation, car elle savait bien ce qu'il chercher à faire, et elle ne compter pas leur donner satisfaction.

Venez Nick

Ainsi, il y avait quelqu'un dans l'une des cellules qui avait le pouvoir de faire apparaître des choses aux yeux des gens. J'avais donc raison en pensant que je n'étais pas en sécurité. Alors que la lieutenant se demandait ce que faisait l'arme dans la cellule, je la regardai et vit qu'elle disparut, tout comme l'avait fait mon assaillant quelques instants auparavant. C'est alors que la jeune femme se décida à ouvrir la porte de ma cellule.

Lieutenant, où allez-vous m'emmener ? Y a-t-il d'autre cellules ?

Cela me paraissait étrange que le commissariat dispose de deux séries de cellules différentes et séparées, mais après tout, toute cette île était étrange, alors pourquoi pas... Je réalisai alors que l'un des détenus de la pièce voisine faisait pas mal de gestes obscènes en direction, et sans doute à l'attention, de la policière. Je ne comprenais pas pourquoi, mais cela déplaisait fortement. M'étais-je attaché à cette jeune rouquine, qui, ma foi, était quand même bien jolie ?

Je vous suis, madame... mais vous devriez prendre garde à ces hommes. Ils ne vous veulent pas du bien !

Je me rendais compte, en même temps que je le disais, que la remarque était stupide. Il était évident que ces prisonniers ne voulaient pas l'emmener faire une simple valse. Peut-être les avait-elle emprisonnés elle-même...

Enfin, j'imagine que vous avez l'habitude.

Devant toute cette agitation, Nick se demandait ou il aller passé la nuit, il est vrai que Yoko n'avait pas vraiment pensé à ça en lui disant de la suivre. Elle croisa les bras sur sa poitrine, preuve de sa nervosité, vu que les détenus lui disaient des obscénités, et faisaient aussi des gestes explicite dans sa direction. Yoko trouva une idée dont elle ferait part à Nick quand ils auraient quittés le lieu des cellules.

Venez Nick, je sais comment faire, je vous expliquerais tout ça après ... suivez moi je vous pris. Et ne vous inquiétez pas pour moi, j'ai effectivement l'habitude de ce genre de remarque sexiste. De part parce que je suis une femme, mon apparence, car je suis jolie, et aussi le fait que je soit lieutenant malgré mon âge. J'ai entendu ce genre de remarque toute ma vie.

Yoko avança, et pendant qu'elle marcher en direction de la porte qui la mènerait au sous sol, elle entendait les autres tarés des cellules, lui dire des saloperies. Elle en avait marre, mais là elle préféra ne rien leur répondre. Elle attendit Nick devant la porte.

Hé lieutenant c'est quand que tu viens me voir en cellule ? J'ai hâte vraiment, j'ai même une jolie surprise pour toi chérie.

Yoko viens me la tenir, elle est trop lourde pour moi seul !!!

Cette dernière remarque fit rire les autres, Yoko ne répondit toujours pas aux provocations.

Je ne saurais jamais dire ce qu'il me prit. La dernière remarque du prisonnier fut la remarque de trop, la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Le prisonnier en question était collé aux barreaux et se tripotait, sans aucune gêne. Je me jetai littéralement sur lui et l'attrapai par le col, le tirant vers l'extérieur pour le faire taire. Le résultat ne fut pas celui que j'escomptais, bien qu'effectivement il ne dit plus mot après cela. Se mangeant les barreaux en pleine figure, il fut mis K.O. en un instant.

Mince, je...

Je lâchai le prisonnier, réalisant que ma petite saute d'humeur avait fait plus de dégâts que je ne le voulais. Et cela pourrait me causer plus de tort encore que prévu. Je me tournai alors vers le lieutenant Starx, penaud de ce que je venais de faire. Je me sentais comme un petit enfant qui allait se faire gronder par son père pour avoir fait une énorme bêtise. Je revoyais alors mon propre père, lorsque j'avais dans les six ans, me frapper d'un violent coup de ceinture. Son rictus lors du coup resterait à jamais gravé dans ma mémoire... mémoire... C'était un vrai souvenir que j'avais là. Mais l'heure n'était pas aux révélations, mais plutôt aux excuses.

Je suis désolé, madame. Je ne sais pas ce qu'il m'a prit.

A la dernière remarque du détenu, Yoko aller intervenir, mais elle n'en eut pas le temps, car Nick attrapa le gars par le col, puis lui cogna la tête contre les barreaux, et le gars s'évanouie sous le choc. Le lieutenant en resta d'abord bouche bée, ne comprenant pas trop ce qu'il venait de ce passé, puis entendant les autres dans les cellules se plaindre contre le brun, elle réagit.

Mais ça va pas non ?!!! Putain, faut que j'appel les secours maintenant, fait chier merde !!!

Hé oh faut le faire enfermer l'autre là, il est fou ce type !

Toi la ferme, si vous n'aviez pas dit des obscénités, peut être que nous n'en serions pas là.

Yoko aller prendre son téléphone pour composer le numéro des urgence, mais l'homme se releva en se tenant le front qui avait une belle bosse. Le lieutenant décida donc de ranger son téléphone, et de ne pas appeler les secours. Elle le regarda de la tête au pied, vérifia vite fait sa blessure, et lui dit d'un ton dédaigneux.

Bon ça va tu va survire. Tu aura juste mal au crane demain. dit-elle avec un rictus sur les lèvres.

Un brouhaha sonore se fit entendre dans les cellules, visiblement ils n'étaient pas contents de leur sort, et du fait que le lieutenant ce souci si peu d'eux. Cette fois le lieutenant se fâcha haut et fort, en sortant son arme à feu et en la pointant dans leur direction.

Maintenant vous fermez vos gueules, je ne veux plus vous entendre, le prochain qui l'ouvre je lui colle une balle là ou ça fait mal, compris !!!

Tu n'as pas le droit de faire ça.

Crois moi Dix, si tu savais comme je m'en fou de vous, ne me tente pas, tu n'aimerais pas me voir réellement en colère.

Une fois le calme revenu, mis à part quelques murmures de mécontentement, le lieutenant se tourna vers Nick, le regarda un moment, puis rangea son arme à feu dans son holster, et le prit par le poignet pour l'amener avec elle. Après quelques minutes, ils remontèrent au niveau des bureaux. Yoko fit entrer Nick dans son propre lieu de travail, puis une fois à l’abri des regards et oreilles indiscrètes, elle se tourna vivement vers lui et l'engueula de plus belle, pointant son doigt contre lui.

Si jamais vous recommencer ce genre de boutade, je vais être obligé d'intervenir et de vous enfermer pour de bon ... comprenez moi, j'ai appréciais le fait que vous preniez ma défense de cette façon, il le mérité, mais je suis flic, et je n'ai pas le droit de vous laissez faire ce que bon vous semble.

Elle soupira, se mettant une main dans les cheveux.

Mais pourquoi avez vous fait ça bordel ?!

Mais pourquoi avez vous fait ça bordel ?![/quote]

Si je le savais, je lui aurais répondu sans détour, mais j'étais incapable de dire pourquoi les paroles déplacées des prisonniers m'avaient mis dans cet état de rage. Était-ce lié à un évènement de mon passé ? Une femme que j'aimais qui avait subi ce même genre de brimade ? J'avais du mal à situer un tel moment, mais en même temps, tout mon passé était dans le flou le plus obscur. Restait cette image très claire de mon passé représentant mon père. J'aurais été capable de le dessiner si j'avais eu un crayon et une feuille sous la main... et à condition que mes capacités de dessinateur soient à la hauteur, ce que j'ignorais totalement.

Je suis désolé, madame... Je ne sais pas ce qu'il m'a prit. Je crois que... je suis vraiment fou. Le sautres prisonniers ont raison, je suis trop dangereux. Je crains de faire du mal...

Mieux valait peut-être pour la sécurité de cette jeune femme que je m'enfuis. Être loin d'elle m'éviterait peut-être de péter à nouveau les plombs et de faire des choses que je regretterais aussitôt. Je regardais les issues que me proposait le bureau, mais elles ne me convainquaient pas sur leur praticité. La fenêtre devait être destinée à ne pas laisser entrer d'intrus... l'évasion semblait donc une option encore plus improbable. Quant à la porte, il y avait toujours des policiers qui se trouvaient dans les couloirs, en dépit de l'heure avancée. Je pouvais changer ma forme, mais je doutais de pouvoir survivre à une balle mal placée. Je devais ruser...

Je crois que je vous aime !

Une fois à l’intérieur de son bureau, le lieutenant se sentis de suite mieux, à l'abri, en sécurité derrière ses murs. Mais ce fut sans compter sur Nick, qui soudainement se mit à lui faire une déclaration d'amour enflammer. Yoko le regarda un instant interdite, puis elle répliqua de façon cinglante.

C'est ça bien sur ... moi je crois surtout que l'autre y vous a frapper trop fort à la tête ... ça tourne pas rond là haut. Je pense qu'il va vraiment falloir que vous voyez un médecin.

La rousse soupira, elle était las et fatiguer, elle avait vraiment envie de rentrer à l’hôtel, dans sa chambre, se faire couler un bon bain, ou une bonne douche chaude. En tout les cas, elle voulait être ailleurs qu'ici, car cette personne l'a troubler fortement, un peu trop même. Et le fait que Nick, lui fasse une déclaration n'arranger en rien son trouble. Certes il était amnésique, et peut être qu'elle lui rappeler quelqu'un qu'il avait connu par le passé, c'était quelque chose de plutôt courant, et elle savait que cela pouvait arriver. Mais alors pourquoi elle en était aussi troubler ? Yoko ne comprenait pas pourquoi son coeur, cet idiot, ce mettait à battre aussi vite en sa présence, non, il y avait quelque chose de pas clair, et elle compter bien découvrir quoi. Mais en attendant elle devait mettre Nick à l'abri, et rentrer à l’hôtel Dominium.

Bon vous allez passé la nuit ici, et demain nous verrons ce que nous feront ... voici une couverture et un oreiller. Utilisez la banquette en guise de lit, ce n'est pas le plus confortable, mais au moins vous serez en sécurité. Restez tranquille et arrêter de dire des bêtises.

La jeune femme sortis tout ce que l'homme brun aurait besoin pour dormir, ou du moins essayer de passé une bonne nuit, puis s'approcha de la porte d'entrée, voulant s'enfuir rapidement d'ici.

Et zut... j'allais devoir trouver autre chose pour m'évader. Je savais qu'il n'y avait aucune chance qu'elle laisse la porte ouverte. Peut-être pourrais-je trouver une arme pour m'évader, mais cela s'avèrerait des plus risqué... Mieux valait attendre une meilleure chance. Comme la lieutenant me donnait tout ce qu'il faudrait pour dormir, j'en déduis qu'il lui arrivait de dormir dans ce bureau... probablement quand elle était débordée.

J'imagine que vous n'avez pas l'habitude de faire dormir vos prisonniers ici. Je pourrais tenter de...

Je me tus instantanément, réalisant qu'elle pourrait prendre mes paroles au pied de la lettre et m'attacher avec ses maudites menottes à un meuble. J'espérais alors qu'elle ne le fit pas, sans grand espoir toutefois. En tous les cas, demain serait un autre jour. J'espérais que les analyses faites sur ma salive et le sang retrouvé sur mes mains révèlerait un peu de moi ou des personnes qui avaient été tuées, ou blessées.

Dîtes-moi, il faut combien de jours pour les analyses ?

Je conservais l'image de mon père dans mon esprit. Je ferais mieux d'en parler au lieutenant Starx dès le lendemain, car cela pourrait être un indice capital.

Alors qu'elle aller partir, Nick lui dit qu'elle ne devait pas avoir l'habitude de faire dormir les prisonniers ici, et qu'il pourrait tenter de ... Yoko se tourna vers lui et le regarda bien dans les yeux, lui disant d'un ton calme.

Alors je vais être directe avec vous Nick, non je ne fais pas dormir mes prisonniers dans mon bureau, vous ... vous êtes une exception. Seulement ne m'obligez pas à changer d'avis, vous n'aimeriez pas ça.

Yoko croisa ses bras sur sa poitrine et continua.

Je vous conseil de ne rien tenter de stupide, restez tranquille, même si c'est chiant pour vous. Quand à savoir pourquoi j'ai une couverture, et un oreiller dans mon bureau, c'est parce que j'y passe la plupart de mon temps, il m'arrive d'y dormir aussi. Même si cela ne vous regarde pas, ma vie est un désastre, je n'ai plus que mon boulot maintenant.

Le lieutenant Starx se sentait las, elle se fichait bien de savoir si cet homme aller ou non comprendre ce qu'elle disait, mais pour le moment elle voulait juste être ailleurs.

Vos analyses je ne sais pas quand elles seront prêtes, mon collègue me le dira quand ça sera le cas. Maintenant dormez, et ne tentez rien d'idiot.

Yoko ouvrit la porte de son bureau, puis la verrouilla derrière elle.

J'avais apparemment fâchée la lieutenant qui s'empressa de s'en aller, non sans m'avoir prévenu de rien faire de stupide. Seul, je regardais rapidement les moyens d'évasion possible. La porte d'entrée était verrouillée et son bureau ne semblait pas contenir de double de la clé. Quant à la fenêtre, elle donnait sur une allée bien trop basse pour se risquer à un saut. J'étais bel et bien piégé. Ne pouvant faire rien d'autre pour l'heure, je m'allongeais là où la jeune femme me l'avait suggéré et, au bout de quelques minutes, finit par m'endormir.

Mes rêves furent agités. Des images d'hommes et de femmes m'apparurent sans que je puisse déterminer s'il s'agissait de visions de mon passé ou simple invention de mon esprit. L'une d'elle, toutefois, était sans conteste une image d'un passé... proche ou révolu, en revanche, je n'aurais su le dire. La jeune fille aux yeux bleus et à la chevelure de la même couleur m'apparut à nouveau. Mais cette fois, un mot sortit de ses lèvres : Papa !

fin du RP pour l'instant, je suppose. À moins qu'on passe directement à après les résultats d'analyses

Non, non ont terminent ici ça sera mieux

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